Les lutins noirs - Renaud Marhic (les lutins urbains 3)

Résumé:

On les croyait disparus à jamais, chassés de nos contrées par la modernité. Erreur! On peut bien avoir construit des villes à la campagne, les lutins se sont faits urbains ! Et ils n'ont rien perdu de leurs pouvoirs d'agaceries, tracasseries, et espiègleries...

Rien ne va plus dans la Grosse Cité! Voilà que trois Lutins noirs on été signalés. Aussitôt, des travailleurs africains sans-papiers sont devenus millionnaires. Tandis qu'une dangereuse société secrète tente de s'infiltrer dans les quartiers...
Gustave Flicman, notre jeune policier, est chargé d'enquêter. Et si tout cela avait à voir avec Chelou, ce rhinocéros qu'il devait conduire à l'abattoir et qui s'est échappé en chemin?
Entre les sortilèges des Lutins noirs et les attaques du Bambou Masqué, une course de vitesse s'engage pour retrouver l'étrange animal.
Manquerait plus que les Lutins Urbains s'en mêlent, tiens...




Mon avis:

Encore un très bel opus de cette série. Cette fois l'auteur nous emmène loin du folklore breton, nous fait explorer d'autres légendes et notre pauvre Gustave y perdrai son latin (si il le connaissait). Nous voila embarqué dans la légende des lutins de Madagascar. ou plutôt... voilà les lutins de Madagascar qui débarquent, serait plus juste. Tout en humour et découverte, le petit reporter nous divertit et nous instruit. malgré quelque péripétie hors du commun pour tenter de le détourner de son ouvrage, notre ami se fait quand même agressé, il parvient à mener son reportage à son terme et à nous montrer ces drôles de petits lutins que l'on ne connait pas. Des lutins noirs très différent de ceux dont on parle habituellement et qui pourtant, ne sont pas loin des lutins de chez nous, dans leurs facéties et leurs tours. Des lutins auxquels ont s'attachent car ils sont particulièrement attendrissant et contrairement a certains lutins urbains ne sont pas là pour jouer uniquement des tours. Un beau voyage plein d'humour que j'ai adoré faire en compagnie de ce pauvre Gustave, encore une fois.




NOTE : 9 / 10